La revolution des annees 90 en termes de prevention puis de therapeutique (traitements de substitution aux opiaces, antiretroviraux, bi-therapie anti-HVC) pour les usagers de drogues a eu des effets spectaculaires mais a atteint ses limites dans certaines populations (co-infection par le VIH/VHC, comorbidites psychiatriques et/ou addictives) ou contextes (prison ou precarite sociale par exemple). A travers l'exploitation des donnees de 2 cohortes...