Nous sommes loin, plus encore par nos moeurs que par la chronologie, du temps ou Louis XIV s'irritait qu'un faiseur de trag dies e t r dig un m moire sur une question politique. Personne aujourd'hui, ni roi, ni peuple, ne s' tonne ou se f che de voir les po tes d daigner la lyre pour la tribune. Cette ambition politique dans des hommes qui se sont illustr s par la po sie est-elle un bien ? est-elle un mal ? Nous n'avons aucune envie de disserter...