Je vous dois trop, mon ami, sous bien des rapports, pour ne pas vous consacrer mes insignifiants efforts en faveur d'une cause dont vous avez fait depuis longtemps la v tre. Quand m me je n'ob irais pas un sentiment de reconnaissance particuli re, il me faudrait couter une justice g n rale et publique. Comment en effet s'occuper de notre art national, de nos monuments historiques, des sublimes d bris de notre pass , sans songer tout d'abord vous...