" Le soleil venait de dispara tre derri re les mornes, et les n gres qui portaient nos bagages se d barrass rent de leurs fardeaux comme des gens en disposition de faire halte. Nous tions parvenus l'endroit o se joignent deux petits ruisseaux qui donnent naissance la rivi re des Marsouins, l'une des plus larges et des plus limpides de toutes celles dont les eaux capricieuses arrosent l' le Bourbon. Devant nous, vers l'ouest, par-del le Coteau-Maigre,...