Un matin de novembre, devant son miroir de salle de bain, Marc r alise l'impensable: sa bouche est en train de dispara tre.Millim tre par millim tre, elle touffe les maux qu'il aurait d crier avant.Mais ce qui l' tonne davantage, c'est que personne ne semble y prendre garde. Pas plus sa m re que les gens qu'il croise lors des prises de son pour lesquelles il est embauch .A croire que personne ne le voit.