L seulement je commen ai respirer, j' tais hors de France, de cette France qui pourtant tait ma patrie, et que je me reprochais de quitter avec joie. L'aspect des monts parvint me distraire de toutes mes pens es, je n'avais jamais vu de hautes montagnes; celles de la Savoie me parurent toucher au ciel avec lequel un pais brouillard les confondait. Mon premier sentiment fut celui de la peur, mais je m'accoutumai insensiblement ce spectacle,...