«... Malgr ce qu'il rec le d'ironie, j'accepte l' change avec gratitude, comme tout ce qui me vient de vous, cruelle. Si je mets des larmes dans les yeux de l'amant de Laure, c'est que je n'y puis mettre une esp rance. J'attends le coucher de soleil. M'autorisez-vous le traduire en tableau, le peindre, et vous l'offrir, s'il est digne de la description ?...