Les hommes sont des forteresses contre le n?ant, des myst?rieux ch?teaux, sur les plaines incandescentes de l'enfer. Leurs visages sont des remparts, des bastions. Je les contemple dans la lumi?re oscillante du feu. Seul le mur est perceptible. Au-del?, au coeur de la forteresse se trouvent le temple, l'autel, lointains, opaques, indestructibles, imprenables.