Une grave question, l'ordre du jour, est celle de savoir si l'imp t, cette part que l' tat pr l ve, pour subvenir aux d penses d'int r t public, sur le revenu ou la fortune de chaque particulier, doit suivre une proportion math matiquement r guli re ou bien, si cette proportion doit aller en augmentant, en progressant, mesure qu'augmentent et progressent les revenus et la fortune de chaque citoyen. Ce n'est plus une question d'arithm tique, mais...