"... Ce fut pour Whitehall une poque d'imitation fran aise, ou plut t de recherche burlesque et de pr tentieuse copie de nos moeurs. La gr ce, qui est l'exquis de la convenance, et qui ne se passe jamais de sobri t , chappait ces rudes imitateurs des Lauzun et des La Feuillade. Quant au peuple, qui se tenait l' cart, il se renfermait dans sa haine et dans sa Bible. Une anecdote contemporaine m'a toujours profond ment frapp ; elle met en regard...