L'Art, aux Salons de 1907, semble immobile et sans surprises. Chaque ma tre s'y pr sente identique, sinon toujours gal lui-m me, et il ne se pr sente pas de ma tre nouveau. Du plus loin qu'on l'aper oive, un tableau crie son auteur, non seulement par sa facture et sa mati re qui n'ont pas chang , mais par son sujet qui est le m me, par ses mod les qui sont venus poser devant le peintre dans une attitude semblable, sous de pareils atours, faisant...