Ces contes, parus pour l'essentiel entre 1892 et 1897 dans le journal, montrent que Maurice Leblanc fut un grand ?crivain, ? l'?criture pr?cise et incisive, d?s ses d?buts. Dans le premier conte, un mari, et l'amant de sa femme, se retrouvent c?te ? c?te dans une visite m?dicale de r?servistes de l'arm?e... Dans le suivant, un homme, qui est toujours pass? inaper?u au yeux de tous, qui n'?tait rien pour les autres, et donc pour lui m?me, va enfin...