Le champ de la physique tait encombr , il y a cent ans, d'un bon nombre d'agents parasites, distincts de la mati re sensible, qui avaient t institu s pour fournir l'explication des divers ph nom nes - et qui, d'ailleurs, n'avaient pas tard se montrer insuffisants leur t che. En n gligeant l'attraction universelle, - dont Newton lui-m me n'a pas dit qu'elle exist t, mais seulement que les choses se passaient comme si elle existait, - on comptait...