En crivant cette histoire, mon soucis permanent reste concentr sur la notion de perte de cerveaux. C'est pour cela que le d cor principal de cette histoire est le continent africain. Je suis de ceux qui sont persuad s que le d veloppement d'une contr e, ou d'un continent, passe d'abord par la prise en charge de l'instrument de progr s par les autochtones. En effet force est de constater que les cerveaux africains font le bonheur des pays du nord...