Deux fois quatre r cits, qui peuvent se lire ind pendamment, mais qui forment aussi un tout, une progression, un portrait, peut- tre. Celui d'un homme qui, de texte en texte, n'est jamais tout fait le m me, ni vraiment compl tement un autre. Peut-on se souvenir autrement que dans le sentiment de la perte ? Peut-on voquer ce qui n'est plus sans la douleur de cette perte ? Que faut-il abandonner d'hier, et quoi faut-il renoncer demain, pour vivre,...