Les peintures, les acryliques, les toiles de lin flambaient sous mes yeux et je ne pouvais rien faire face cette sc ne mouvante qui me prenait aux tripes de l' me. Ces cr ations, toute ma vie partaient dans ces fum es qui d gageaient des larmes de d go t sur le visage apeur . Mon mari, Luc, tait mes c t s, il ne savait que dire, que faire; se taire fut la voix de sa sagesse. Un bref instant de folie me poussa ce souhait si pr sent de me jeter...