Une des t ches que s'est donn es le XIXe si cle (et, sur ce point, le XXe para t destin aller encore plus loin) a t de substituer, dans la litt rature et dans l'art, la critique directe des oeuvres, d'apr s certains principes d'esth tique absolue, que les modernes avaient h rit s d'Aristote et de Longin, l' tude psychologique des auteurs et du milieu o ils ont v cu, de la soci t qui les a inspir s et sur laquelle, leur tour, ils ont agi...