La question du cr dit agricole para t tre entr e dans une phase nouvelle qui accro t, si elle ne les assure pas compl tement, les chances d'une solution si longtemps retard e. Il ne faudrait pas croire pourtant que les motifs invoqu s pour la faire chouer ne se renouvelleront pas, m me contre ces nouvelles formes plus praticables. Attendons-nous, lorsqu'elle va repara tre devant les chambres apr s maint chec, voir se reproduire les m mes objections...