? la base de cette vie litt?raire, souple, nuanc?e et subtile, on voit distinctement de la vie abondante, vivace, sans forme encore comme une force pr?te ? toutes les d?terminations, - le terreau, la nourriture chimique ? m?me laquelle mangent les racines de l'arbre. C'est l? que M. Barr?s, dans une page serr?e et sombre de Leurs Figures para?t distinguer ce que Goethe appelle les M?res... Vaste monde inhabitable, sans couleurs, o? il venant de...