Quand un roman n'a ni la moelle pini re d'une intrigue ni la chair de corps pensants qui agissent, cr ent et subissent de vrais v nements, il se r duit une ponge absorbant les eaux sales dont ne veulent ni la po sie, ni le th tre, ni l'essai. Cette souffreteuse vell it de roman est aussi peu app tissante qu'une pens e f ch e avec les images dont elle s'efforcerait en vain se v tir. Mais pr cis ment, c'est dans la forme d'un avorton litt...