" Les trangers qui nous abordent gaiement, venant d'un pays alli o n'a pas s vi l'invasion, s' tonnent parfois de nous voir accueillir avec quelque amertume leurs paroles aimables, leurs protestations de sympathie, leur satisfaction de se remettre commercer et vivre. Ils reprochent aux Fran ais d'avoir perdu le sourire. Alors nous les conduisons dans la zone des destructions et des massacres, devant ces villes dont il ne reste plus pierre sur...