Extrait O CELA M NE La voil bien, la vanit humaine Ah que la voil bien Shakespeare. C' tait l'autre soir au caf Anglais - un d ner un peu triste, car il s'agissait de faire nous adieux Isidore Boujard, ruin en un rien de temps par Sylvia de Frosnes, apr s avoir t pendant pr s de deux ann es un de nos plus joyeux compagnons de f te. - Alors, demanda l'un de nous c'est d cid , vous partez pour San Francisco? - Oui, mon bon. Je vais essayer...