Moli re avait pr s de quarante ans, l' ge o le c libat et la solitude deviennent p nibles. Il tait las des amours banales; la fortune et le succ s commen aient lui sourire, mais son triple m tier pesait sur lui d'un poids de plus en plus lourd. Il en vint, naturellement, examiner pour son compte l'embarrassante question que soul ve le Panurge de Rabelais et que lui-m me devait porter la sc ne dans le Mariage forc , c'est- -dire se demander...