A force de repeter que le pire est toujours certain, il finit par se realiser. La menace terroriste nous a rattrapes. Que ce soit par l'invasion de l'Irak en 2003 ou la non-intervention en Syrie depuis 2011, nous avons alimente la radicalisation. Et nous continuons de la nourrir, par nos compromissions diplomatiques avec des dictateurs, par notre refus d'entendre la souffrance des peuples, par notre incapacite a produire un contre-discours. Quelle...