" C'est toi, Jean des Brebis, que je veux d dier ces quelques pages, toi l' tre vivant de chair et d'os que le malheur des temps et l'intensit de ta souffrance ont lev la dignit d'un symbole douloureux. O mon cher p tre lorrain, tu ne sais pas lire, dire vrai, je n'ai gu re eu le moyen de m'en assurer, au cours des longues conversations que nous avons ensemble, par les plaines de chaumes gris tres et d color s, pareils des cheveux...