Par une douce soir e d'hiver, Andr Poitou s'achemina pas lents vers l'h tel Gallia. De nombreux consommateurs taient attabl s la terrasse des caf s. Ils apercevaient, travers un brouillard jaun tre et mobile, les arbres d nud s du boule-vard, les lumi res tremblantes des enseignes et cette foule o m me le promeneur aux v tements clairs passe inaper u. Les f tes de No l approchaient. Derri re les vitres embu es des restaurants, aux tringles...