Il ?tait tard quand Sandro traversa la place de la Seigneurie. Ne restaient plus, ?a et l?, que quelques ?gar?s, comme lui, sur le chemin de leur foyer. Du supplice ne subsistait pas la moindre trace. Ni sur la place ni sur les visages qu'il y croisa. ? peine une odeur de fum?e qui planait dans l'air et que finissait d'emporter le vent d'ouest. Il entendit rire et bavarder. Ce soir, les maris t?teraient les seins et les culs de leurs ?pouses, demain,...