PREMI RE PARTIE I. - Pour se mettre au courant. Reconnaissez-vous Ferdine Arvoine assise sur le vieux banc de pierre qu'ombrage un tilleul au coin de cette haute terrasse ? Vous la connaissiez bien, il y a quatre ou cinq ans, pensionnaire Bonne-Gr ce, l'humeur ardente, les yeux un peu sauvages, ses longues et lourdes nattes noires tombant dans le dos, la robe courte et le pied l ger. Aujourd'hui les yeux sont plus doux, la robe est longue, et c'est...