Assise dans son manteau l ger, derri re la porte du jardin, N ph lis par e attendait. La nuit sous les arbres tait si profonde, que les yeux ne voyaient pas la main, et que seule la senteur des feuilles r v lait leur pr sence obscure. Tout dormait, les hommes lointains, les oiseaux cach s, les ramures invisibles. Le silence de la terre tait pur comme le noir de l'ombre. N ph lis immobile se tenait les doigts unis sous le genou, et la t te droite...