M. Berbiguet, apprenant qu'Antone ne conna t pas cette merveille, sa merveille, a fait entrer toute sa troupe; il lui fait admirer les tombeaux, les retables, les stalles si finement cisel es et ouvrag es. Il s'extasie devant la triple porte paradisiaque du jub , va, vient, recule, montre les feuillages, les chardons, les cordeli res, les blasons, les statues, ne fait gr ce d'aucun d tail. sa voix chaude et enthousiaste ces toffes, cette v g tation,...