Le parfum qui s'exhale de ces effluves du pass? n'est pas cet unique parfum de volupt? qu'on a coutume de respirer dans tout ce qui ?mane du XVIIIe si?cle, le si?cle des gr?ces et des faciles complaisances. Ce n'est pas ? nous, qui avons fait revivre les amours du plus voluptueux des monarques, de reprocher aux ?crivains m?me les plus graves d'avoir, pour plus exactement peindre une ?poque, recherch? celles d'entre les femmes de la soci?t? qui, par...