Une fois M. de Charlus parti, nous p mes enfin, Robert et moi, aller d ner chez Bloch. Or je compris pendant cette petite f te que les histoires trop facilement trouv es dr les par notre camarade taient des histoires de M. Bloch p re, et que l'homme tout fait curieux tait toujours un de ses amis qu'il jugeait de cette fa on. Il y a un certain nombre de gens qu'on admire dans son enfance, un p re plus spirituel que le reste de la famille, un professeur...